Un fin rayon de soleil passant les doubles rideaux rouges d’une petite chambre,
Walter s’éveilla.
Il était aux environs de 6h15 du matin et le jour pointait assez vite avec
l’arrivé de l’été.
Ce dernier se leva, alla faire un brin de toilette et enfila aussi sec ses vêtements.
Pour ce jour de semaine, Walter avait opté pour un pantalon droit en toile noir,
une chemise blanche superposé en dessous d’un « Blaser » sans manche à rayures grises sur noir et une paire de simples chaussures noires cirés ;
tout cela accompagné d’une cravate noire.
Entrebâillant la fenêtre de sa chambre, il laissa entrer l’air frais de la rosé du matin. Entamant son « Breakfast » composé de croissants et d’un thé aromatisé, par ses soins, à la rose, il lit le journal venu tout droit d’Angleterre surnommé
« The times», regardant les nouvelles et actualités,
il en eut finit son thé et ses croissant.
-
8h05, Mon dieu je suis en retard… Se déclara-t-il à lui-même.
Ramassant sa simple sacoche en cuir brun, il retapa le lit dans lequel
il avait passé la nuit et rangea tous ce qu’il avait déranger ou déplacé
au centimètre près. Emportant avec lui quelques petits objets de valeurs avec lesquelles il pourra en tiré pas mal, il laissa en retour une petite rose
posé au sol près de l’entrée de l’appartement.
Et aussitôt fait aussitôt dit il ouvrit une fenêtre par la quel il sortit
de la manière suivante : Il l’ouvrit, il se mit debout sur le rebord,
se mettant de dos à la rue, prenant les deux fenêtres,
les rabattants vers lui et avec un file transparents attacher à la poignée,
il la ferma en exerçant une pulsion sur cette dernière, et la voilà fermée.
Accrocher à une simple gouttière par ses deux mains, il sauta dans le vide. Atterrissant sur ses deux pieds puis se redressant, il marcha dans cette ruelle vide comme un parfait-homme.
Il était aux environs de 8h45, tout en chemin pour la vallée elfique, un peu de repos s’imposait. Cela faisait déjà quelques minutes qu’il marchait dans cette vallée … et tout à coup une grande bâtisse…
Que dis-je ?! Un château apparu en plein milieu de son chemin.
Walter ne regarder jamais devant lui, toujours ailleurs ou perdue du regard autre pars, mais jamais devant lui. Une fenêtre était ouverte de l’intérieur, un jeune homme aux cheveux plutôt vif était assied sur son siège devant un bureau.
Étrange pensa Walter.
Il commençait à avancer vers cette fenêtre discrètement, quand tout à coup la porte en face du bureau s’ouvrit, par pure réflexe Walter se retourna contre le mur et se mettait or de vue de qui qu’onques.
Le bruit d’un fracas de verre sur le sol résonna. Puis une voix plutôt s’inique se fit entendre.
-
Oups, je suis vraiment désolée. Je n’ai pas fait gaffe mon p’tit Yávë,Walter faillit éclater de rire, pour lui le mot « Yahvé » voulait signifier « Dieu » du moins les divinités cité dans la Bible Espagnole. Il se pencha avec une discrétion or paire, voyant le dossier sur lequel le jeune homme lisait le contenue, Walter écarquilla les yeux.
Mais par simple réflexe il se laissa voir affichant sur ses lèvres, un sourire plutôt sarcastique, il s’adossant au rebord de la fenêtre et dit d’un ton amusé en s’adressant à la jeune fille.
-D’où vient ce surnom ou est-ce un vrai prénom auquel vous avez contribué ?